Numérisation de plaques de verre en négatif ou positif
Numérisation en 16 bits par couleurs, densité du scanner 3,8 Dmax ceci vous permet d'avoir une vraie profondeur de couleur et de définition.
Numérisation de 2 400 x 4 800 dpi , format jusqu'au format A3, c'est ce qui se fait de mieux sur le marché. L'ensemble est calibré par une mire IT8.
Prix de la numérisation des négatifs 24x36, pour les formats supérieurs voir la page sur Ektachrome.
Il faut savoir que pour numériser dans la plus haute définition l'opération dure environ 17 minutes par négatif.
Le nettoyage des négatifs est fait par 3 passages sur le scanner, en infrarouge, en lumière directe et à 45°.
PS : Les poussières sont incrustées depuis un certain temps et les enlever risque d'ôter une partie de l'émulsion, voilà
pourquoi l'intervention est faite par le scanner. Numérisation au format JPEG ou TIFF pour les fichiers en 2 500, 5 000, 7 500 et 10 000 dpi.
Tous les négatifs sont traités avec le système de correction IC3, ce n'est pas un supplément.
Pour le dépoussiérage nous passons quand même un pinceau antistatique pour enlever la plupart des poussières.
Nous évitons de toucher fortement au support afin d'éviter toute rayure.
Numérisation de négatifs et de plaques de verre (ambrotypes, daguerréotypes et films souples) nous disposons des meilleurs scanners professionnels et des meilleurs logiciels de dernière génération du marché.
Pour plus de 4 001 numérisations contactez-nous. Nous proposons des tarifs dégressifs pour de très grands volumes. Notre expérience se base sur la numérisation de plus de 100 000 diapositives en 2 ans, expérience que nous mettons à votre service.
Nous réalisons le transfert de vos négatifs sur des médias CD-R ou DVD data, disque dur et pour les urgences sur nos serveurs sécurisés en FTP directement accessibles en temps réel.
Pour des couleurs fidèles nous faisons un étalonnage en calibrant les couleurs en IT-8.
Le format de scan ou numérisation est JPEG ou TIFF (un fichier tiff prend beaucoup plus de place sur un disque que le JPEG). Plus vous avez des résolutions fortes plus cela vous permet de modifier l'image comme vous le feriez sur vos photos numériques actuelles mais aussi de pouvoir les imprimer facilement.
Voici les formats les plus courants dans le format de plaque de verre photographique :
Négatif, Un négatif est une image photographique sur laquelle les valeurs du sujet sont inversées : les parties claires apparaissent donc foncées, et les parties foncées sont transposées en clair ; les couleurs dont traduites par leur complémentaires. L'image du sujet est plus facile à examiner sur un négatif en noir et blanc que sur un négatif en couleur, pour deux raisons. D'une part, notre œil n'est pas accoutumé à reconnaître le cyan, le magenta et le jaune comme les couleurs complémentaires du rouge, du vert et du bleu. D'autre part, l'image négative est partiellement voilée par la présence d'un masque orangé, dû aux copulants résiduels colorés contenus dans l'émulsion et qui aident à une reproduction fidèle des couleurs du sujet.
C'est Henri Fox Talbot, qui le premier, réalisa que le négatif constitue une étape intermédiaire indispensable pour obtenir un nombre illimité d'images positives, aux tonalités correctes.
Négatif verre à l'albumine
1841 est l'année du brevetage du calotype mis au point par Henry Fox Talbot. Ce procédé négatif-positif présente un inconvénient de taille qui est l'opacité et l'irrégularité de la texture donnant un grain nuisant à la netteté de l'image.
Afin de remédier à ces défauts, en 1847, Abel Niépce de Saint-Victor a l'idée d'utiliser une plaque de verre sur laquelle il parvient à fixer les sels sensibles avec de l'albumine et à produire des clichés d'une grande finesse. Procédé peu sensible, il est surtout utilisable dans la prise de vue de paysages ou de monuments. Les deux principales qualités du négatif à l'albumine sont sa grande finesse et la possibilité de se conserver entre la prise de vue et le développement pendant quelques jours. Malgré ces avantages, il sera concurrencé par le procédé au collodion après 1850 nettement plus sensible.
Un négatif à l'albumine est composé d'une plaque de verre recouverte d'une couche d'albumine contenant le dépôt d'argent qui constitue l'image négative.
Afin de réaliser un négatif à l'albumine, une plaque de verre est recouverte d'un mélange d'albumine comprenant de l'iodure et du bromure de potassium. Elle est ensuite séchée puis immergée dans une solution de nitrate d'argent et d'acide acétique puis rincée. Après insolation de plusieurs dizaines de minutes, la plaque est développée en la recouvrant d'une solution d'acide gallique et d'une solution de nitrate d'argent en alternance afin d'obtenir les densités désirées. Le fixage est réalisé avec une solution de thiosulfate à 10% suivi du lavage. La tonalité de l'image obtenue va de l'ocre-orangé au vert olive selon le développement. Malgré la résistance de la couche d'albumine des micro-craquelures en forme d'étoile caractéristiques de ce procédé peuvent être visibles au microscope.
Le procédé à l’albumine est délicat à utiliser car il faut sensibiliser ses plaques juste avant la prise de vues, ce qui nécessite un matériel important. En 1871 MADDOX met au point les plaques au gélatino-bromure. L’émulsion déposée sur la plaque de verre est à base de gélatine, qui sert de liant, et de sels d’argent sensibles à la lumière. Dans les années 1880 on commence à trouver dans les boutiques spécialisées divers produits à base de gélatino-bromure d’argent beaucoup plus facile à utiliser par les “amateurs”. Les émulsions sont préparées en usine et vendues prêtes à l’emploi sur des plaques de formats différents. A partir de 1888 le support souple sur pellicule, mis au point par Kodak, remplace progressivement les plaques de verre. elles demeurent encore employées de nos jours.
En 1893, René GUILLEMINOT, fils de Gustave, fondateur de la société en 1858, implante une toute nouvelle usine située à Chantilly (60) pour produire les nouvelles plaques au lactate d’argent pour “positifs sur verre et projections” qui connaissent rapidement un grand succès.
Deux ans plus tard, en 1895, l’américain IVES commercialise les premiers appareils permettant de faire de la photographie en couleurs par le procédé trichrome, puis en 1905, les frères LUMIERE déposent un brevet pour les plaques “autochromes”.
Négatif verre au collodion
A partir de 1851, le négatif verre à l'albumine est remplacé par le négatif verre au collodion, solution de nitrate de cellulose dans de l'alcool et de l'éther, promu par Frederick Scott Archer. L'avantage de ce procédé est un temps de pose infime, se comptant désormais en secondes. Son inconvénient, dû à l'utilisation du collodion humide, est l'obligation de développer dans les minutes suivant l'insolation. De fait, un procédé aussi sensible avec une péremption moins rapide sera recherché et portera le nom de collodion sec. Il contient des préservateurs, substances hygroscopiques chargées de maintenir à l'intérieur du collodion de l'humidité.
L'usage du collodion humide perdure au-delà de 1880 à l'inverse du collodion sec moins populaire.
Un négatif au collodion est une plaque de verre recouverte d'une couche de nitrate de cellulose. Il possède une coloration particulière allant du caramel au brun sombre.
Afin de fabriquer un négatif verre au collodion, une plaque de verre est recouverte d'une solution de collodion contenant du bromure de potassium. Lorsque le figeage débute, la sensibilisation dans un bain de nitrate est entreprise. Puis, l'image est développée grâce à une solution d'acide pyrogallique ou de sulfate de fer ammoniacal, après une insolation de quelques secondes. Enfin, elle est fixée dans un bain de thiosulfate, lavée, séchée puis vernie en guise de protection.
Le négatif verre au collodion est relativement stable grâce à la mince couche de collodion utilisée et au vernis appliqué en fin d'opération. En revanche, le collodion se raye facilement et des craquelures peuvent apparaître sur les bords entraînant des écaillements de l'image.
Négatif verre au collodion humide
A partir de 1851, le négatif verre à l'albumine est remplacé par le négatif verre au collodion, solution de nitrate de cellulose dans de l'alcool et de l'éther, promu par Frederick Scott Archer. L'avantage de ce procédé est un temps de pose infime, se comptant désormais en secondes. Son inconvénient, dû à l'utilisation du collodion humide, est l'obligation de développer dans les minutes suivant l'insolation. De fait, un procédé aussi sensible avec une péremption moins rapide sera recherché et portera le nom de collodion sec. Il contient des préservateurs, substances hygroscopiques chargées de maintenir à l'intérieur du collodion de l'humidité.
L'usage du collodion humide perdure au-delà de 1880 à l'inverse du collodion sec moins populaire.
Un négatif au collodion est une plaque de verre recouverte d'une couche de nitrate de cellulose. Il possède une coloration particulière allant du caramel au brun sombre.
Afin de fabriquer un négatif verre au collodion, une plaque de verre est recouverte d'une solution de collodion contenant du bromure de potassium. Lorsque le figeage débute, la sensibilisation dans un bain de nitrate est entreprise. Puis, l'image est développée grâce à une solution d'acide pyrogallique ou de sulfate de fer ammoniacal, après une insolation de quelques secondes. Enfin, elle est fixée dans un bain de thiosulfate, lavée, séchée puis vernie en guise de protection.
Le négatif verre au collodion est relativement stable grâce à la mince couche de collodion utilisée et au vernis appliqué en fin d'opération. En revanche, le collodion se raye facilement et des craquelures peuvent apparaître sur les bords entraînant des écaillements de l'image.
Négatif verre au collodion sec
A partir de 1851, le négatif verre à l'albumine est remplacé par le négatif verre au collodion, solution de nitrate de cellulose dans de l'alcool et de l'éther, promu par Frederick Scott Archer. L'avantage de ce procédé est un temps de pose infime, se comptant désormais en secondes. Son inconvénient, dû à l'utilisation du collodion humide, est l'obligation de développer dans les minutes suivant l'insolation. De fait, un procédé aussi sensible avec une péremption moins rapide sera recherché et portera le nom de collodion sec. Il contient des préservateurs, substances hygroscopiques chargées de maintenir à l'intérieur du collodion de l'humidité.
L'usage du collodion humide perdure au-delà de 1880 à l'inverse du collodion sec moins populaire.
Un négatif au collodion est une plaque de verre recouverte d'une couche de nitrate de cellulose. Il possède une coloration particulière allant du caramel au brun sombre.
Afin de fabriquer un négatif verre au collodion, une plaque de verre est recouverte d'une solution de collodion contenant du bromure de potassium. Lorsque le figeage débute, la sensibilisation dans un bain de nitrate est entreprise. Puis, l'image est développée grâce à une solution d'acide pyrogallique ou de sulfate de fer ammoniacal, après une insolation de quelques secondes. Enfin, elle est fixée dans un bain de thiosulfate, lavée, séchée puis vernie en guise de protection.
Le négatif verre au collodion est relativement stable grâce à la mince couche de collodion utilisée et au vernis appliqué en fin d'opération. En revanche, le collodion se raye facilement et des craquelures peuvent apparaître sur les bords entraînant des écaillements de l'image.
Daguerréotype
Le daguerréotype n'est pas le premier procédé photographique, mais il est cependant le premier procédé commercialisé. C'est un perfectionnement des recherches entreprises par Nicéphore Niépce au début du XIXème siècle (procédé appelé héliographie, dont la première épreuve stable est conservée au musée de l'université d'Austin au Texas). Niépce s'associe à Daguerre en 1829, mais décède en 1833, laissant Daguerre, en 1839, dévoiler son propre procédé. La France l'achète alors et offre l'invention au monde. Rapidement populaire, ce procédé est utilisé entre 1839 et 1860. Cependant, il existe de nos jours des photographes et des associations qui défendent et promeuvent ce procédé obsolète.
Le daguerréotype est constitué d'une plaque de cuivre recouverte d'argent et finement polie. Après l'avoir sensibilisée, grâce à de l'iodure d'argent, on lui fait subir un traitement avec une "substance accélératrice" (iodure de brome ou bromure d'iode) qui permet de réduire le temps d'exposition à la lumière. La plaque ainsi préparée est placée dans la chambre noire pour la prise de vue. L'image enregistrée, d'abord invisible (latente), est révélée en l'exposant à des vapeurs de mercure au cours du développement. La plaque est ensuite rendue insensible à la lumière par des bains de fixage et de lavage. Le daguerréotype obtenu est enfin enchâssé dans un cadre de verre pour le protéger de l'air, de l'humidité et des frottements qui le détériorent irréversiblement.
L'image est unique. Si l'on regarde l'image face à soi on ne la voit pas, car la plaque d'argent fait miroir. Il faut incliner le support pour voir apparaître l'image.
Epreuve au gélatino bromure d'argent
Utilisée dès 1839 par Henry Fox Talbot pour encoller ses papiers salés, la gélatine prend une place importante dans l'histoire de la photographie. Cependant, c'est seulement aux alentours de 1880 qu'elle devient le médium indispensable pour la préparation de surfaces sensibles. La première émulsion au gélatino-bromure d'argent est réalisée par Richard Leach Maddox en 1871. Ce procédé est universellement adopté, après 1878, quand Benett découvre qu'en chauffant l'émulsion photosensible, pendant quelques heures, la sensibilité est augmentée de façon extraordinaire. Le procédé au gélatino-bromure d'argent est à la base des procédés photographiques contemporains.
Afin d'obtenir une épreuve au gélatino-bromure d'argent, la plaque de verre est recouverte d'une solution tiède de gélatine qui contient en suspension les sels photosensibles. Celle-ci est préparée en ajoutant à la solution gélatine du bromure de potassium et du nitrate d'argent. Il se forme alors une suspension de couleur blanche constituée de bromure d'argent. Cette émulsion est chauffée quelques heures ; pendant cette opération appelée maturation, les cristaux de bromure d'argent se recombinent entre eux et la sensibilité augmente. On laisse refroidir puis, une fois la gélatine prise en masse, elle est découpée en " nouilles " qui sont lavées à l'eau froide afin d'éliminer les produits résiduels solubles. L'émulsion est refondue puis coulée sur des plaques de verre découpées par la suite à des formats standardisés (6x9, 13x18 cm...). Après la prise de vue elles sont développées, fixées et lavées, parfois vernies et retouchées.
La plaque au gélatino-bromure d'argent allie une sensibilité accrue à une simplicité d'utilisation inégalée.
Par ailleurs, elle peut se conserver pendant de longues périodes avant d'être utilisée. On peut donc en fabriquer, stocker et distribuer dans le monde entier sans que leurs caractéristiques se modifient. Des sociétés comme les Etablissements Lumière (France), Agfa (Allemagne), Eastman (USA), Illford (G.B.) se développent rapidement.
La numérisation à l'aide de la fonction Digital ICE Technology prend néanmoins plus de temps et nécessite davantage de ressources du système.
Nous sommes pratiquement la seule société à proposer une résolution aussi forte de 2 500 à 10 000 DPI , car pour avoir une vraie résolution sans interpolation il faut compter de 4 à 17 minutes de numérisation par NÉGATIF. De plus nous utilisons un procédé "Digital ICE Technologie" qui ne dégrade pas la photo.La fonction Digital ICE Technology permet de supprimer les rayures ou traces de poussière tenaces présentes sur les négatifs ou les films en couleur.
La technologie ICE fonctionne à l'intérieur même du scanner, de ce fait et contrairement aux solutions logicielles pures, elle n'altère pas les détails sous-jacents de l'image. Faisant suite à la technologie originale "ICE Digitale" qui utilisait un nettoyage infra-rouge, des technologies supplémentaires d'amélioration de l'image ont été commercialisées par Applied Science Fiction et Kodak sous des noms similaires et connexes, souvent en tant qu'éléments d'une suite de technologies compatibles. La technologie ICE utilise un scanner avec deux sources de lumière, une lampe RVB habituelle et une lampe IR (Infra-Rouge), et numérise deux fois le document avec l'une et l'autre des lampes. La lampe IR détecte l'emplacement des poussières grâce à sa méthode unique de détection, puis les retouches sont ensuite réalisées sur la base de ces données. Le concept général consiste à soustraire les poussières et rayures de l'image RVB.
Voici le traitement anti-poussière et anti-rayure que nous faisons sur vos négatifs (vous pouvez cliquer sur l'image pour avoir plus de détails) :
A gauche l'image scannée à droite le scan de l'infrarouge
A gauche le repérage sur l'image par le logiciel et un gros calcul est fait pour avoir à droite le rendu final.
Le traitement des couleurs et luminosités que nous faisons sur vos diapositives :
Avant / Après - Cliquez sur une des images pour voir plus d'informations sur le format ICE3
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